| Titre : |
Symphony, Opus 5 |
| Type de document : |
Oeuvre sur CD |
| Auteurs : |
Victor EWALD (1860-1935), Compositeur |
| Orchestre : | Ensemble de cuivres ; 1 | | Ensemble : | Quintette ; 1 | | Instruments non solistes : | Trompette ; 2, Cor d'harmonie ; 1, Trombone ; 1, Tuba ; 1, Total ; 5 |
| Importance : |
3 plages |
| Mots-clés : |
19E SIECLE
OEUVRE ORIGINALE
QUINTETTE DE CUIVRES
SYMPHONIE
|
| Résumé : |
Le compositeur russe Victor Ewald (1860 - 1935) est aujourd'hui fort méconnu. Il est vrai que dans la Russie du XIXème siècle, de nombreux musiciens, y compris parmi les plus grands (Rimski-Korsakov, Moussorgski, Borodine...) étaient en quelque sorte des 'amateurs', exerçant à côté de leur art une autre activité professionnelle. Eward, pour sa part, fut ingénieur et professeur, bien qu'il aimât tenir la ârtie de violoncelle au sein du quatuor Belayev, du nom du célèbre éditeur de Saint-Petersbourg à qui l'on doit, en 1912, l'édition du Quintette de Cuivres Opus 5 interprété ici. A côté de ses activités d'ingénieur, compositeur et chambriste, Ewald se fit en outre connaître après la Révolution de 1917 comme ethnomusicologue en collectionnant des chansons populaires au cours d'une expédition en Russie du Nord. Son quintette, dont on ignore les circonstances de composition, semble paradoxalement sous l'influance de Tchaikovski qui, pourtant, n'appartenait pas au cénacle de Balayev. Ainsi le ton mélancolique de l'œuvre, sa sombre tonalité de Sib mineur, la mesure à 5/4 du second mouvement renvoient-ils au style de l'auteur de la Pathétique. Le premier mouvement Moderato de la forme sonate, repose sur deux éléments de caractère mélodique; le premier construit autour de l'intervalle de tièrce et traité en imitation, le second coloré de chromatisme et de courbe descendante, énoncé successivement par tous les instruments. Le développement (piu mosso) ne travaille que sur le premier motif, fragmenté, qui donne matière à une courte fanfare. La réexposition est suivie d'une coda sur le premier élément à nouveau traité en fanfare. Le second mouvement, en Solb Majeur à 5/4, se compose de deux adagio encadrant une sorte de scherzo (allegro vivace). Le troisième mouvement est une fantaisie bâtie sur des motifs tirés des mouvements précédents ; le tout organisé autour d'une structure en arche ABCACBA et coda. Ainsi A renvoit-il au premier thème du premier mouvement, B à celui du scherzo tandis que C provient du matériau mélodique de l'Adagio. L'œuvre s'achève en fanfare dans la tonalité lumineuse de Si bémol Majeur. |
| Note de contenu : |
1. Moderato
2. Adagio
3. Allegro Moderato |
| Enregistrement : type de formation : |
Enregistrement de musique d'ensemble |
| Durée : |
00:11:41 |
| Référence éditeur : |
CHCD5610 |
| Permalink : |
https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=44785 |
Symphony, Opus 5 [Oeuvre sur CD] / Victor EWALD (1860-1935), Compositeur . - [s.d.] . - 3 plages.
| Mots-clés : |
19E SIECLE
OEUVRE ORIGINALE
QUINTETTE DE CUIVRES
SYMPHONIE
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| Résumé : |
Le compositeur russe Victor Ewald (1860 - 1935) est aujourd'hui fort méconnu. Il est vrai que dans la Russie du XIXème siècle, de nombreux musiciens, y compris parmi les plus grands (Rimski-Korsakov, Moussorgski, Borodine...) étaient en quelque sorte des 'amateurs', exerçant à côté de leur art une autre activité professionnelle. Eward, pour sa part, fut ingénieur et professeur, bien qu'il aimât tenir la ârtie de violoncelle au sein du quatuor Belayev, du nom du célèbre éditeur de Saint-Petersbourg à qui l'on doit, en 1912, l'édition du Quintette de Cuivres Opus 5 interprété ici. A côté de ses activités d'ingénieur, compositeur et chambriste, Ewald se fit en outre connaître après la Révolution de 1917 comme ethnomusicologue en collectionnant des chansons populaires au cours d'une expédition en Russie du Nord. Son quintette, dont on ignore les circonstances de composition, semble paradoxalement sous l'influance de Tchaikovski qui, pourtant, n'appartenait pas au cénacle de Balayev. Ainsi le ton mélancolique de l'œuvre, sa sombre tonalité de Sib mineur, la mesure à 5/4 du second mouvement renvoient-ils au style de l'auteur de la Pathétique. Le premier mouvement Moderato de la forme sonate, repose sur deux éléments de caractère mélodique; le premier construit autour de l'intervalle de tièrce et traité en imitation, le second coloré de chromatisme et de courbe descendante, énoncé successivement par tous les instruments. Le développement (piu mosso) ne travaille que sur le premier motif, fragmenté, qui donne matière à une courte fanfare. La réexposition est suivie d'une coda sur le premier élément à nouveau traité en fanfare. Le second mouvement, en Solb Majeur à 5/4, se compose de deux adagio encadrant une sorte de scherzo (allegro vivace). Le troisième mouvement est une fantaisie bâtie sur des motifs tirés des mouvements précédents ; le tout organisé autour d'une structure en arche ABCACBA et coda. Ainsi A renvoit-il au premier thème du premier mouvement, B à celui du scherzo tandis que C provient du matériau mélodique de l'Adagio. L'œuvre s'achève en fanfare dans la tonalité lumineuse de Si bémol Majeur. |
| Note de contenu : |
1. Moderato
2. Adagio
3. Allegro Moderato |
| Enregistrement : type de formation : |
Enregistrement de musique d'ensemble |
| Durée : |
00:11:41 |
| Référence éditeur : |
CHCD5610 |
| Permalink : |
https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=44785 |
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Symphony, Opus 5 / EWALD, Victor (1860-1935) 
