Titre : |
Sinfonia Hungarica : 3. Istvan |
Titre traduit : |
Symphonie hongroise : 3. Istvan |
Type de document : |
Partition pour Orchestre à vent |
Auteurs : |
Jan ROOST (VAN DER) (1956-), Compositeur |
Editeur : |
Horbourg-Wihr [France] : De Haske |
Année de publication : |
2001 |
Orchestre : | Orchestre d'harmonie ; 1 | Instruments supplémentaires : | Harpe ; 1, Piano ; 1 |
Importance : |
81 p. |
Format : |
35 cm |
Langues : |
Anglais (eng) |
Mots-clés : |
21E SIECLE COMMEMORATION HISTOIRE HONGRIE OEUVRE ORIGINALE SYMPHONIE
|
Index. décimale : |
210.1 Orchestre d'harmonie seul |
Résumé : |
Cette symphonie en trois mouvements retrace l'histoire de la Hongrie. L'ensemble des trois mouvements s'inspire de la vie des personnages historiques clés, de guerres et d'autres évènements de grande importance qui ont marqué l'histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l'état hongrois (1001 - 2001) . L'œuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 à Budapest, par l'Orchestre d'Harmonie de Kiskunféleghyhaza placé sous la direction du compositeur. ATTILA, rois des Huns, surnommé le Fléau de Dieu, est le personnage central du premier mouvement où règneune atmosphère de peur, de menace, d'agression et de cruauté. Buda, le frère d'Attila, est associé à un thème aux accents plus héroïques, tandis que Rika, l'épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidents de ce mouvement d'ouverture illustre l'effroyable rapidité avec laquelle les troupes d'Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l'état hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Emese, la grand-mère d'Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l'un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l'avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit la pays au christianisme : Etienne Ier (ISTVAN), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 2001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d'ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l'atmosphère belliqueuse s'intensifie pour s'achever en de violents fracas symbolisant la mort atroce de Koppany, un païen, dont le corps fut découpé en quatre parties expédiées aux quatre coins du pays pour servir d'exemple. Un intermezzo serein, presque religieux, laisse ensuite place à l'hymne national de la Hongrie. Ce final grandiose aux sonorités amples possède également une signification symbolique : après ces dix siècles d'histoire, la Hongrie a de nombreuses raisons de contempler son passé avec fierté et d'envisager l'avenir avec confiance et optimisme. Le superbe thème de l'hymne national apparaît en fait tout au long de la symphonie, souvent partiellement ou complètement masqué. Il est le fil conducteur de l'œuvre ; un fil conducteur que l'on discerne à peine au début, mais qui se dévoile de plus en plus vers la fin de la symphonie pour former le finale en apothéose où l'orchestre d'harmonie prend toute la majesté d'un grand orgue. |
Présentation musicale (orchestre) : |
Conducteur d'orchestre - orchestration complète |
Durée : |
00:14:35 |
Référence éditeur : |
1002209 |
Niveau de difficulté orchestre : |
Difficulté 6 |
Note sur l'instrumentation : |
Pupitre des percussions fourni. |
Permalink : |
https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=35967 |
Sinfonia Hungarica : 3. Istvan = Symphonie hongroise : 3. Istvan [Partition pour Orchestre à vent] / Jan ROOST (VAN DER) (1956-), Compositeur . - Horbourg-Wihr [France] : De Haske, 2001 . - 81 p. ; 35 cm. Langues : Anglais ( eng)
Mots-clés : |
21E SIECLE COMMEMORATION HISTOIRE HONGRIE OEUVRE ORIGINALE SYMPHONIE
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Index. décimale : |
210.1 Orchestre d'harmonie seul |
Résumé : |
Cette symphonie en trois mouvements retrace l'histoire de la Hongrie. L'ensemble des trois mouvements s'inspire de la vie des personnages historiques clés, de guerres et d'autres évènements de grande importance qui ont marqué l'histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l'état hongrois (1001 - 2001) . L'œuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 à Budapest, par l'Orchestre d'Harmonie de Kiskunféleghyhaza placé sous la direction du compositeur. ATTILA, rois des Huns, surnommé le Fléau de Dieu, est le personnage central du premier mouvement où règneune atmosphère de peur, de menace, d'agression et de cruauté. Buda, le frère d'Attila, est associé à un thème aux accents plus héroïques, tandis que Rika, l'épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidents de ce mouvement d'ouverture illustre l'effroyable rapidité avec laquelle les troupes d'Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l'état hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Emese, la grand-mère d'Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l'un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l'avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit la pays au christianisme : Etienne Ier (ISTVAN), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 2001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d'ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l'atmosphère belliqueuse s'intensifie pour s'achever en de violents fracas symbolisant la mort atroce de Koppany, un païen, dont le corps fut découpé en quatre parties expédiées aux quatre coins du pays pour servir d'exemple. Un intermezzo serein, presque religieux, laisse ensuite place à l'hymne national de la Hongrie. Ce final grandiose aux sonorités amples possède également une signification symbolique : après ces dix siècles d'histoire, la Hongrie a de nombreuses raisons de contempler son passé avec fierté et d'envisager l'avenir avec confiance et optimisme. Le superbe thème de l'hymne national apparaît en fait tout au long de la symphonie, souvent partiellement ou complètement masqué. Il est le fil conducteur de l'œuvre ; un fil conducteur que l'on discerne à peine au début, mais qui se dévoile de plus en plus vers la fin de la symphonie pour former le finale en apothéose où l'orchestre d'harmonie prend toute la majesté d'un grand orgue. |
Présentation musicale (orchestre) : |
Conducteur d'orchestre - orchestration complète |
Durée : |
00:14:35 |
Référence éditeur : |
1002209 |
Niveau de difficulté orchestre : |
Difficulté 6 |
Note sur l'instrumentation : |
Pupitre des percussions fourni. |
Permalink : |
https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=35967 |
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