Titre : |
Machu Picchu : The lost city of the Incas |
Titre traduit : |
Machu Picchu : la ville perdue des Incas |
Type de document : |
Partition pour Orchestre à vent |
Auteurs : |
Federico AGNELLO (1991-), Compositeur |
Editeur : |
La Loggia [Italie] : Scomegna |
Année de publication : |
2011 |
Collection : |
Original Concert Music |
Orchestre : | Orchestre d'harmonie ; 1 | Instruments supplémentaires : | Glockenspiel ; 1, Cloches tubes ; 1, Xylophone ; 1 |
Importance : |
84 p. |
Langues : |
Italien (ita) |
Mots-clés : |
21E SIECLE OEUVRE ORIGINALE ORCHESTRE D'HARMONIE
|
Index. décimale : |
210.1 Orchestre d'harmonie seul |
Résumé : |
“Machu Picchu” est la description imaginaire et naturaliste de la légendaire ville perdue des Incas. En 2007, la ville fut proclamée l’ une des 7 merveilles du monde moderne et cette composition est le premier paragraphe de l’hépatologie descriptive de ces Sites Archéologiques. Machu Picchu (qui signifie vieille montagne en espagnol) se trouve au Pérou, dans le Parc Archéologique de Machu Picchu (célèbre Sanctuaire Historique), et est appelé la ville perdue. On suppose que la ville fut construite par l'empereur inca Pachacútec aux environs de l’année 1440 et qu’elle fut habitée jusqu’à la conquête espagnole de 1532. L’emplacement de la ville était un secret militaire bien gardé dans la mesure où les profonds escarpements qui l’entourent étaient sa meilleure défense naturelle. En effet, une fois abandonnée, sa position demeura inconnue pendant quatre siècles, entrant ainsi dans la légende. Des découvertes archéologiques unies à de récentes études sur des documents coloniaux montrent qu’il ne s’agissait pas d’une ville normale, mais plutôt d’une sorte de résidence d’été pour l'empereur et la noblesse Inca. On a calculé que pas plus de 750 personnes à la fois pouvaient résider à Machu Picchu et ce nombre devait probablement baisser encore durant la saison des pluies ou quand il n’y avait pas de nobles. La ville fut redécouverte le 24 juillet 1911 par Hiram Bingham, un historien de Yale. Il s’agit d’un lieu d’une immense valeur architecturale où l’on trouve de nombreuses structures au caractère religieux contenant des autels en pierre. De longs escaliers, aqueducs, maisons, observatoires, places, temples, tours de repérage et une horloge solaire en font une ville unique. Il ne s’agit pas d’une ville conventionnelle : elle a été construite sur un éperon rocheux et est composée de différentes unités habitatives situées sur plusieurs hauteurs, divisées entre elles par des sentiers raides et des ravins très dangereux sur un terrain particulièrement escarpé. La composition s’ouvre sur une rapide vision initiale de la ville qui est tout de suite enveloppée par les nuages dans un halo mystérieux, comme si elle ne voulait pas se laisser admirer. Puis, les nuages se dissipent et nous laissent admirer la merveilleuse “Pyramide de Intihuatana” qui, avec ses escaliers, caractérise tout le morceau par de vastes sauts timbrés et harmonieux. Ensuite, nous entrons dans la ville, où le compositeur imagine un lama (typique animal péruvien) qui, sautillant entre les sentiers escarpés, nous ramène comme par magie à l’époque où la ville était peuplée par les Incas et, avec un ensorcelant 7/8 qui nous emplit de gaîté et d’émerveillement, la fête populaire commence. Après ce moment imaginaire de gaîté, le regard se pose sur l’austère “Temple du Soleil”, où la douceur et la mollesse sonore initiale aboutissent en une description majestueuse de la construction. Mais voilà la guerre ! La description de cette partie du morceau reprend son caractère imaginaire et raconte la conquête espagnole de 1532... Mais des scénarios de guerre on revient en arrière, imaginant des enfants qui jouent sur les escaliers de la pyramide, créant une atmosphère de gaîté et de divertissement. Ensuite, nous assistons, sur la Place Sacrée, à un rituel Inca dédié au Dieu du Soleil, selon lequel les prêtres devaient compenser les forces négatives créées par l’homme dans la vie terrestre avec des forces d’origine surnaturelle et liées aux astres. Dans ce rituel, la voix est utilisée pour évoquer l’effet sonore de cet ancien rite et l’on y trouve le thème qui décrivait la guerre comme force négative créée par l’homme. Mais voici que resurgit le lama qui, sautant de ci-de là, remet la ville en fête ! Le morceau se conclut par un dernier regard sur cette majestueuse Ville qui, entourée de mystère, reste et restera pour toujours “La ville perdue des Incas”. |
Présentation musicale (orchestre) : |
Conducteur d'orchestre - orchestration complète |
Durée : |
00:17:02 |
Référence éditeur : |
ESB1105.27 |
Niveau de difficulté orchestre : |
Difficulté 5 |
Permalink : |
https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=37756 |
Machu Picchu : The lost city of the Incas = Machu Picchu : la ville perdue des Incas [Partition pour Orchestre à vent] / Federico AGNELLO (1991-), Compositeur . - La Loggia [Italie] : Scomegna, 2011 . - 84 p.. - ( Original Concert Music) . Langues : Italien ( ita)
Mots-clés : |
21E SIECLE OEUVRE ORIGINALE ORCHESTRE D'HARMONIE
|
Index. décimale : |
210.1 Orchestre d'harmonie seul |
Résumé : |
“Machu Picchu” est la description imaginaire et naturaliste de la légendaire ville perdue des Incas. En 2007, la ville fut proclamée l’ une des 7 merveilles du monde moderne et cette composition est le premier paragraphe de l’hépatologie descriptive de ces Sites Archéologiques. Machu Picchu (qui signifie vieille montagne en espagnol) se trouve au Pérou, dans le Parc Archéologique de Machu Picchu (célèbre Sanctuaire Historique), et est appelé la ville perdue. On suppose que la ville fut construite par l'empereur inca Pachacútec aux environs de l’année 1440 et qu’elle fut habitée jusqu’à la conquête espagnole de 1532. L’emplacement de la ville était un secret militaire bien gardé dans la mesure où les profonds escarpements qui l’entourent étaient sa meilleure défense naturelle. En effet, une fois abandonnée, sa position demeura inconnue pendant quatre siècles, entrant ainsi dans la légende. Des découvertes archéologiques unies à de récentes études sur des documents coloniaux montrent qu’il ne s’agissait pas d’une ville normale, mais plutôt d’une sorte de résidence d’été pour l'empereur et la noblesse Inca. On a calculé que pas plus de 750 personnes à la fois pouvaient résider à Machu Picchu et ce nombre devait probablement baisser encore durant la saison des pluies ou quand il n’y avait pas de nobles. La ville fut redécouverte le 24 juillet 1911 par Hiram Bingham, un historien de Yale. Il s’agit d’un lieu d’une immense valeur architecturale où l’on trouve de nombreuses structures au caractère religieux contenant des autels en pierre. De longs escaliers, aqueducs, maisons, observatoires, places, temples, tours de repérage et une horloge solaire en font une ville unique. Il ne s’agit pas d’une ville conventionnelle : elle a été construite sur un éperon rocheux et est composée de différentes unités habitatives situées sur plusieurs hauteurs, divisées entre elles par des sentiers raides et des ravins très dangereux sur un terrain particulièrement escarpé. La composition s’ouvre sur une rapide vision initiale de la ville qui est tout de suite enveloppée par les nuages dans un halo mystérieux, comme si elle ne voulait pas se laisser admirer. Puis, les nuages se dissipent et nous laissent admirer la merveilleuse “Pyramide de Intihuatana” qui, avec ses escaliers, caractérise tout le morceau par de vastes sauts timbrés et harmonieux. Ensuite, nous entrons dans la ville, où le compositeur imagine un lama (typique animal péruvien) qui, sautillant entre les sentiers escarpés, nous ramène comme par magie à l’époque où la ville était peuplée par les Incas et, avec un ensorcelant 7/8 qui nous emplit de gaîté et d’émerveillement, la fête populaire commence. Après ce moment imaginaire de gaîté, le regard se pose sur l’austère “Temple du Soleil”, où la douceur et la mollesse sonore initiale aboutissent en une description majestueuse de la construction. Mais voilà la guerre ! La description de cette partie du morceau reprend son caractère imaginaire et raconte la conquête espagnole de 1532... Mais des scénarios de guerre on revient en arrière, imaginant des enfants qui jouent sur les escaliers de la pyramide, créant une atmosphère de gaîté et de divertissement. Ensuite, nous assistons, sur la Place Sacrée, à un rituel Inca dédié au Dieu du Soleil, selon lequel les prêtres devaient compenser les forces négatives créées par l’homme dans la vie terrestre avec des forces d’origine surnaturelle et liées aux astres. Dans ce rituel, la voix est utilisée pour évoquer l’effet sonore de cet ancien rite et l’on y trouve le thème qui décrivait la guerre comme force négative créée par l’homme. Mais voici que resurgit le lama qui, sautant de ci-de là, remet la ville en fête ! Le morceau se conclut par un dernier regard sur cette majestueuse Ville qui, entourée de mystère, reste et restera pour toujours “La ville perdue des Incas”. |
Présentation musicale (orchestre) : |
Conducteur d'orchestre - orchestration complète |
Durée : |
00:17:02 |
Référence éditeur : |
ESB1105.27 |
Niveau de difficulté orchestre : |
Difficulté 5 |
Permalink : |
https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=37756 |
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