Titre : |
Military suite : Anno 17 century |
Type de document : |
Partition pour Orchestre à vent |
Auteurs : |
Kees VLAK (1938), Compositeur |
Editeur : |
Wormerveer [Pays-Bas] : Molenaar |
Année de publication : |
1981 |
Orchestre : | Orchestre de jeunes ; 1 |
Importance : |
15 p. |
Note générale : |
Avec fanfares et sonneries pour pupitres. |
Langues : |
Anglais (eng) |
Mots-clés : |
20E SIECLE-2E MOITIE DANSE FANFARE MUSIQUE MILITAIRE SONNERIE SUITE
|
Index. décimale : |
210.1V Orchestre d'harmonie avec instrumentation variable |
Résumé : |
Nos harmonies et fanfares sont nées de la jonction des Stadtspfeifers (siffleurs de la ville) et des Trompetterkorpsen (corps des trompettistes). Les Stadspfeifers étaient réunis dans une guilde sous la direction d'un Pfeiferkönig (roi siffleur). Ils jouaient d'une sorte de flûte appelée Pfeife. Mais les Pfeifers utilisaient également d'autres instruments, comme la vielle ou divers instruments à anche. Avant le 16ème siècle déjà, on connaissaitndes instruments comme la flûte traversière, la flûte à bec, le chalumeau (une sorte de hautbois) ou le serpent. Les trompettes simples, les cors et les trombones existaient déjà eux aussi. Les musiciens militaires au service des souverains les utilisaient, au même titre que les tymbales. Les Stadtpfeifers assuraient le service de garde sur les tours et les murs de la ville. Ils jouaient également à l'occasion des cérémonies religieuses, des festivités, des processions, des mariages, des enterrements, et exécutaient des airs de danse. Pour le souverain, ces services étaient assurés par les Trompetterkorps. Ceux-ci jouaient aussi à cheval, d'où l'expression cuivres montés. A partir de quelques brèves compositions, j'ai essayé de retracer l'évolution de cette forme musicale. Les sonneries (appelées trumpet-tunes pour les besoins de la circonstance) étaient tout d'abord jouées par un seul trompettiste. Il n'avait recours pour ce faire qu'aux tons naturels. Par la suite, ces sonneries étaient jouées par deux ou plusieurs cuivres, appuyés par les timbales et les tambours. Ces morceaux en forme de sonneries sont dénommés fanfares. Ces franfares ont donné naissance à plusieures œuvres musicales plus importantes, telles l'Ouverture et l'Air. Les autres danses sont la conjugaison des mélodies des Stadtspfeifers et des Trompetterkorpsen. De la juxtaposition de ces différnets morceaux sont néées les suites. |
Note de contenu : |
1. Ouverture
2. Air
3. Menuet
4. Gavotte
5. Rigaudon |
Présentation musicale (orchestre) : |
Conducteur réduit |
Référence éditeur : |
03.1621.07 |
Niveau de difficulté orchestre : |
Difficulté 1 |
Note sur l'instrumentation : |
Instrumentation variable à 4 voix et percussions |
Permalink : |
https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=21121 |
Military suite : Anno 17 century [Partition pour Orchestre à vent] / Kees VLAK (1938), Compositeur . - Wormerveer [Pays-Bas] : Molenaar, 1981 . - 15 p. Avec fanfares et sonneries pour pupitres. Langues : Anglais ( eng)
Mots-clés : |
20E SIECLE-2E MOITIE DANSE FANFARE MUSIQUE MILITAIRE SONNERIE SUITE
|
Index. décimale : |
210.1V Orchestre d'harmonie avec instrumentation variable |
Résumé : |
Nos harmonies et fanfares sont nées de la jonction des Stadtspfeifers (siffleurs de la ville) et des Trompetterkorpsen (corps des trompettistes). Les Stadspfeifers étaient réunis dans une guilde sous la direction d'un Pfeiferkönig (roi siffleur). Ils jouaient d'une sorte de flûte appelée Pfeife. Mais les Pfeifers utilisaient également d'autres instruments, comme la vielle ou divers instruments à anche. Avant le 16ème siècle déjà, on connaissaitndes instruments comme la flûte traversière, la flûte à bec, le chalumeau (une sorte de hautbois) ou le serpent. Les trompettes simples, les cors et les trombones existaient déjà eux aussi. Les musiciens militaires au service des souverains les utilisaient, au même titre que les tymbales. Les Stadtpfeifers assuraient le service de garde sur les tours et les murs de la ville. Ils jouaient également à l'occasion des cérémonies religieuses, des festivités, des processions, des mariages, des enterrements, et exécutaient des airs de danse. Pour le souverain, ces services étaient assurés par les Trompetterkorps. Ceux-ci jouaient aussi à cheval, d'où l'expression cuivres montés. A partir de quelques brèves compositions, j'ai essayé de retracer l'évolution de cette forme musicale. Les sonneries (appelées trumpet-tunes pour les besoins de la circonstance) étaient tout d'abord jouées par un seul trompettiste. Il n'avait recours pour ce faire qu'aux tons naturels. Par la suite, ces sonneries étaient jouées par deux ou plusieurs cuivres, appuyés par les timbales et les tambours. Ces morceaux en forme de sonneries sont dénommés fanfares. Ces franfares ont donné naissance à plusieures œuvres musicales plus importantes, telles l'Ouverture et l'Air. Les autres danses sont la conjugaison des mélodies des Stadtspfeifers et des Trompetterkorpsen. De la juxtaposition de ces différnets morceaux sont néées les suites. |
Note de contenu : |
1. Ouverture
2. Air
3. Menuet
4. Gavotte
5. Rigaudon |
Présentation musicale (orchestre) : |
Conducteur réduit |
Référence éditeur : |
03.1621.07 |
Niveau de difficulté orchestre : |
Difficulté 1 |
Note sur l'instrumentation : |
Instrumentation variable à 4 voix et percussions |
Permalink : |
https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=21121 |
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